samedi 30 mai 2020

Les rendez-vous Chorégraphiques - numéro 5


  " danser, exprimer l'absence *, matérialiser l'invisible *,
             danser, sublimer la marche, déguiser l'uniforme ***. "




                        commencer par un Do In, échauffement visant à être disponible puis, à renforcer la ceinture abdominale, ce qui ouvre un accès à des sensations notamment au niveau du centre, moteur générateur de l’énergie centrale du corps.



..renforcement de la ceinture


                        allongée sur le dos, je m’assoies en enroulant le dos progressivement, étape par étape, aidé par des inspirations et des expirations
                        j’inspire et j’expire plusieurs fois et me retrouve assise
( j’inspire et j’expire, en relevant la tête, j’inspire/ et j’expire en relevant le buste, j’inspire/ et j’expire en relevant le dos, j’inspire/ et j’expire en m’asseyant

… et je refais le trajet retour pour me rallonger sur le dos, en trois ou quatre expirations ( ou plus si je suis très fort.e )

 je peux ensuite prolonger en me relevant en trois / quatre expirations en empruntant le côté droit puis, le côté gauche, plutôt qu’en me relevant sur le trajet par l’avant..

Go !

Il y a de faire glisser les 2 mains sur le corps, de façon asymétrique mais fluide, et/ ou de laisser le corps épouser les mains et ainsi de se laisser glisser dans le mouvement sans aucune quête de forme, ni de point d’arrivée, laisser le flow d’une circulation incessante se faire ..


...pour accompagner cette danse qui commence seul.e peut-être, mais le fait de convoquer d’autres manifestations de présences * va faire que la danse va se densifier * au fur et à mesure.

                                                            
dedans/ dehors


Il y a aujourd’hui à écouter, les mouvements des moindres gestes et leur continuum,
ce qu’ils ont à dire…

Il y a du geste quotidien, sublimé, augmenté par et avec le mouvement,
le déplacement du corps...et à quoi il tend, vers où il chemine..

Il y a le fait de prendre des appuis sur le mobilier autour, sur des surfaces verticales et de les transformer petit à petit en danse, grâce aux outils suivants:

- l’ étirement, à vivre comme un allongement entre 2 extrémités *  ou simplement 2 points du corps, afin d’ ouvrir un espace de mouvement.

 - le fait de profiter, dans un déplacement quotidien, d’une pièce à l’autre  de marquer une pause et de se mettre à danser dans cette brèche et re-commencer dans un déplacement, à provoquer des arrêts du corps et laisser un bout de danse s’immiscer là..
                                                                 
                                                                                                                    
dehors/ dedans



La marche, et dans la marche, l’écho des moindres gestes à mettre en dialogue avec la résonance de ses pas. L’écoute branchée sur ce qui nous arrive *, une écoute fine.

           si vous pouvez les retenir un peu, les solliciter à nouveau,
alors partez en impro à partir de ces petits gestes-là ! Ils vous en seront reconnaissants, vous verrez !

Impro grâce aux actions de re-produire, agrandir, répéter, ralentir, composer, accélérer, revenir en arrière.

Dans le Bal d’Ettore Scola, magistral et sans paroles, il y a des ressources d’inspiration multiples, tant du point de vue du style, des styles de danse, mais aussi sur les rythmes et les dissociation de tout ordre, l’expression, le corps, les vitesses , les arrêts , les suspens….



Une source d’inspiration, Le bal ***

seul, à deux, à plusieurs…

Le Bal d’Ettore Scola à regarder encore et encore, il contient toutes les qualités de jeu de la relation des corps et des êtres entre eux.



https://vimeo.com/208490110


https://www.youtube.com/watch?v=iuDXZ07nOv0




Dans une salle de bal re-défile l'histoire de la France, des années 20 aux années 80, au gré des musiques qui ont rythmé ces décennies. Le Front Populaire, la Seconde Guerre mondiale, la Libération et Mai 68 sont ainsi évoqués sur fond de jazz, de rock'n'roll et de musique disco.        




Atelier d'écriture - 29 mai

De la part de Christophe


C’était un matin comme tant d’autre, du haut de mes six ans, j’étais heureux. Fils unique demeurant chez mes grands-parents dans une petit village de Picardie où j’allais à l’école communale. Après le petit déjeuner composer du chocolat chaud fait de Nesquik et de lait Gloria en boite parce que je n’aimais pas le lait de vache, enfin surtout la « peau » qui se formait quand on le chauffait et de tartines grillées sur le poêle à charbon de la cuisine puis beurrés. C’était le moment de se laver, là aussi dans la cuisine avec un bassine dans l’évier remplie d’eau chaude de la bouilloire qui restait continuellement sur le poêle. Le passage du gant de toilette fini, le brossage des dents terminé, je passait mes vêtements de la journée qui étaient souvent ceux de la veille. Nous étions vendredi, demain mes parents comme chaque week-end viendrai passé deux jours en famille avant de retourner à Paris pour travailler.

Quand ma journée d’école arriva à son terme, ma grand-mère vint me chercher pour revenir à la maison. Sur le chemin dans la discussion elle me mit au courant que mon grand-père avait une surprise pour moi. Je la questionnais tout le long du chemin mais elle tenais à garder le secret.

J’imaginais qu’il m’avait fabriqué un lance-pierre, un sifflet en bois de sureau ou encore acheté une nouvelle canne à pêche. J’arrivais à la maison pour débouler dans la salle à manger en appelant :

« Grand-père! Grand- père ! »

Pas de réponse. Je filais dans la cour pour comprendre que mon grand-père était dans la grange. Ses grands bras étaient plongés dans le foin à la recherche de quelque chose. Est ce que c’était ma surprise ?

Et là quand il se retourne vers moi en tendant une de ses énormes main fermé, je vois une petite queue grise qui dépasse. Je ne comprend pas tout de suite. Il ouvre sa main et me dit :

« Prend le dans tes mains et dépose le dans le panier. »

J’avance mes deux mains, il me passe cette petite boule de poil grise. Dès qu’elle se trouve dans le creux de mes mains, je ressent un léger tremblement continu qui me surprend, alors je la met rapidement dans le panier. Puis se succède une boule de poil rousse, noire et blanche et blanche que je dépose délicatement une à une dans le panier. Mon grand-père me dit :

« Choisi ton chaton, tu devras bien t’en occuper. Les autres ont les fera adopter par la famille ou les voisins. »

« Merci, merci grand-père ! »

Je lui sautais dans les bras. Je regardais les quatre chatons, je pris le noir et blanc dans une main le caressant de mon autre main. Entre deux petits miaulements, il ronronnait.

« Il faut que tu lui donne un nom, comment veux-tu l’appeler ? »

Demanda mon grand-père en ébouriffant mes cheveux de sa main.

« C’est difficile, il ne faut pas se tromper, un nom c’est pour toujours. »

Lui répondant d’un air songeur, je me questionnais pour les autres chatons.

Christophe M. M.

Atelier d'écriture - 29 mai

De la part d'Hélène



Une première fois. Une première fois d’envergure. J’ai 9 ans et je me rendis au poney club grâce à la voiture de mon père. Il y avait les poneys, les double poneys et les chevaux. C’est avec émerveillement que je découvrais l’odeur des chevaux, de l’avoine, du foin, de l’herbe et du purin. La campagne ça sent bon le vrai. Je fis la connaissance du poney pour mon âge qui s’appelait Snoopy. Après ma séance d’essai j’étais conquise par l’exercice. Je voulais faire de l’équitation. Mais mon cheval préféré s’appelait Sultan. C’était un pur sang arabe, cheval de propriétaire.
J’avais d’ailleurs sympathisé avec son propriétaire très gentil et très pédagogue. On jouait aux dominos avec une feuille et un stylo. Mon camarade m’aidait à mettre la selle de mon poney trop lourde pour moi.
Tous les dimanches on se donnait rendez-vous à la même heure pour seller mon cheval, jouer aux dominos. Avec le recul, j’adore cette époque. Je fus triste d’arrêter l’équitation à cause de mon mal de dos (à12 ans), se fût un déchirement. Bien qu’ aujourd’hui je vais reprendre l’équitation à la rentrée. Il faut juste que je prenne mon sac de sport et j’y vais.
Une fois, je regardais mon camarade et Sultan m’a mangé mon biscuit que j’avais entre les mains. Quel gentil glouton !


Hélène B.
De la part de Sylvie

Ca pousse!!

Sylvie a planté les petites graines qui étaient dans le dernier courrier que nous vous avons envoyé, 
et déjà des pousses apparaissent!




Le défi Enigmes Emoji... la suite!!!



Pensez à garder vos réponses, 
un Rendez-vous Zoom spécial Défi Emoji est prévu prochainement!!!



Le planning de Nada (vendredi 29 mai)

Ici nous allons revivre la fabuleuse aventure artistique de ce coloriste prodigieux et visionnaire qu'était Turner, du jeune peintre autodidacte fasciné par Rembrandt et Poussin, à l'artiste audacieux à la technique exceptionnelle guidé par l'observation aiguë du monde qui l'entoure .

vendredi 29 mai 2020

De la part d'Alice

"Les fleurs de mes balcons"


"Orthensia, Yuka, calankoe, pivoine, chrisantheme, repivoine"







"Geranium, feuilles de courges, géranium et vos graines surprises, feuilles de courges"

 


jeudi 28 mai 2020

Atelier d'écriture - Vendredi 29 mai

 De la part de Christophe
Bonjour à toutes et à tous,

Atelier d'écriture du 29 mai 2020 de 15h00 à 16h30.

Proposition d'écriture: Première fois

Je vous invite à imaginer une « première fois » – pas uniquement amoureuse, il existe plein de premières fois –  qui se réalise en compagnie de quelqu’un ou pas. Dans un texte écrit au je, au nous, je vous propose d’écrire en texte en trois paragraphes :
– Le premier paragraphe nous raconte comme la narratrice ou le narrateur a rencontré « sa première fois »
– Le deuxième paragraphe nous donne à voir le lieu, la scène de cette première fois. Le secret étant de ne pas tout nous raconter de l’action mais de nous donner des éléments pour l’imaginer.
– Le troisième paragraphe, juste après, assez court, avec une ou deux phrases de dialogue, si vous le souhaiter, est le temps d’une révélation, courte et efficace, et qui nous surprenne.
L' écriture de 15h00 à 15h40 
Participer à la réunion Zoom
https://us04web.zoom.us/j/76985838895?pwd=OHIrUmU1SjQ4U1VNdHhrRzlPZitVUT09

ID de réunion : 769 8583 8895
Mot de passe : cadet


La lecture  et l'écoute de 15h40 à 16h30
Participer à la réunion Zoom
https://us04web.zoom.us/j/73184310893?pwd=ZUFrQnhtNUxQRm02aFRhY3dLZGxnZz09

ID de réunion : 731 8431 0893
Mot de passe : cadet


Je remercie toutes les personnes qui ont participé à nos ateliers d'écriture sur Zoom.
Dites-moi si vous voulez de nouvelles propositions tous les quinze jours les vendredis à 15h00 ?
Ce fut un grand plaisir d'écouter vos texte et de les lire sur le blog.
Prenez soin de vous et à très bientôt.
Christophe 

mercredi 27 mai 2020

Café Musique et Poésie Jeudi 28 mai

De la part de Marielle

A vos platines, mange-disques et mp3,
A vos tablettes, recueils et textes préférés,
Voici le café musique et poésie !

Jeudi 28 mai 2020 à 15h

Participer à la réunion Zoom


ID de réunion : 751 0476 3925
Mot de passe : 6PGNMq

mardi 26 mai 2020

Le planning de Nada(mercredi 27 mai)

JOAN MIRO
AU GRAND PALAIS

"Le bleu est la couleur de mes rêves" disait Miró. Cette exposition, véritable redécouverte du maître moderne, nous plonge dans son univers coloré, codé et sans cesse renouvelé. Magistral.

Le planning de Nada (mardi 26 mai)

Les différents mouvements artistiques décryptés

l’impressionnisme

Mais d’où vient le terme « impressionnisme » ? Nous le devons à Louis Leroy, critique d’art qui écrit en 1874 un article intitulé « L’exposition des impressionnistes ».
Le succès ne rencontre pas immédiatement le public. Pour preuve, les impressionnistes n’ont vraisemblablement pas leur place dans le Salon officiel de peinture et de sculpture. Ce rendez-vous permet aux artistes d’accéder au marché de l’art et d’accroître leur renommée. Le jury leur reproche une technique peu académique pour les conventions de l’époque et une modernité trop importante des sujets. Mais les jeunes artistes parmi lesquels Pierre Auguste Renoir, Camille Pissarro, Edgar Degas ou encore Eugène Boudin ne se laissent pas abattre et organisent eux-­mêmes leurs rassemblements et expositions sous l’entité d’une société anonyme, en dépit des critiques persistantes.


Écriture Collective - Chapitre 6 par Isabelle L



Chapitre 6



Les cabanautes s’esclaffaient. L’hilarité était générale et une sorte d’insouciance s’installait dans la communauté.
Alors que la musique ancestrale s’estompait, une mélodie douce venue d’ailleurs enveloppa l’assemblée. Après quelques mesures, une voix féminine chanta dans un souffle léger : Babe alone in Babylone, noyée sous les flots… Les cabanautes, comme hypnotisés, devinrent tour à tour silencieux dans la nuit métallique.
Tous silencieux, sauf un, Victor, que ses compagnons d’aventure surnommaient « Vic dort » pour son air endormi. Là, de façon inhabituelle, goûtant aux paradis artificiels, il se mit à héler ses amis.
  • Hey ! Lucas, t’entends ça ? Cette voix, ce filet de voix...
Hey ! Lucky ! Mon copain l’orni… l’orni… l’ornithorynque…
Hey ! Les amis ! Ting ! Ting ! Ting 
  • Du calme, lui dit Fernand avec bienveillance.
  • Ting ! Ting ! Ting !
  • Qu’est-ce qui t’arrive ? Qu’est-ce que tu me chantes ? C’est quoi ce Ting ! Ce Tang ! C’est cette douce voix qui te fait tanguer ?
  • Tu n’entends pas le Ting ! Ting ! Ting ! Ecoute bien.
Victor tendait un doigt vers le plafond à chaque Ting.
Fernand le suivit des yeux et tendit l’oreille. Au bout de quelques instants, il perçut un son métallique qui se répétait, un son très discret mais suffisamment troublant pour qu’il décide de s’éclipser afin d’essayer d’en repérer l’origine. Jamais de sa vie de mécano il n’avait entendu ça. Plus il s’éloignait de la voix frêle qui chantait noyée sous des flots de lumière, de poussières, d’étoiles éphémères, plus il comprenait que cet étrange cliquetis ne venait pas d’une des dizaines de milliers de pièces qui contribuaient à l’assemblage de la Cabane volante.
Ting ! Ting ! Ting !
Ses pas le conduisaient sans la moindre hésitation vers l’un des jardins baptisé le Jardin des merveilles. Fernand avait l’ouïe fine, tellement habituée à repérer le moindre petit dysfonctionnement de l’infinie mécanique qui l’entourait.
Ting ! Ting ! Ting !
Rythmé par de nombreuses terrasses portées par d’immenses colonnes, le jardin était bordé d’arbres plantés en hauteur.
Ting ! Ting ! Ting !
Ting ! Ting ! Ting !
Fernand se laissa guider par le son dont le volume augmentait au fur et à mesure qu’il avançait vers la colonne A.486+.
Ting ! Ting ! Ting !
Ce n’était plus un cliquetis. C’était très étrange. Ce son ne pouvait pas exister, et pourtant, il était audible. Sa fréquence hertzienne semblait proche de celle de la lumière rouge, et pourtant, cela était impossible dans cet espace. Ce Ting ne pouvait être décrit dans aucun ouvrage, même le plus savant, et pourtant, même « Vic dort » l’avait perçu et il ne rêvait pas.
Ting ! Ting ! Ting !
Fernand colla son oreille à la colonne A.486+. Il ferma les yeux pendant dix secondes. Quand il les rouvrit, il venait de comprendre ce qu’elle renfermait.
Il enlaça longuement A.486+, la tête collée contre elle et le cœur battant, puis, sautant comme un cabri, il descendit de terrasse en terrasse pour rejoindre les cabanautes , tout en fredonnant Babe alone in Babylone …/… tu rêves d’éternité et tu vas la trouver…
Maintenant, il souhaitait rejoindre au plus vite l’homme au parfum de jasmin. Dans le grand salon où la fête battait son plein, Victor s’était endormi au plafond, dans les bras de Lucky.







****************


Le feuilleton du confinement suit son cours. Voici un rappel des éléments de la situation initiale du récit qui ont été choisis ensemble au début de cette aventure d'écriture.

Merci à tous les participants et continuons à donner vie à ce feuilleton.


Qui ? Un jeune cadre dynamique de 35 ans travaillant dans le marketing et une femme retraitée de 70 ans, travaillant dans une ferme écolo bio.

Quoi ? Un voyage initiatique

Comment ? Un road trip

Compagnon ? Un ornithorynque à bec de lièvre

Où ? Dans une cabane volante

Quand ? Dans les années 1970

Accessoire ? Une cigarette


Vous pouvez lire sur le blog les épisodes de cette histoire qui s'annonce farfelue, qui suit et suivra les tours et détours de l'esprit de chaque auteur. Tous les épisodes sont regroupés dans le Dossier "Ecriture collective".

Venez écrire la suite de ce récit pour ceux qui ont envie de participer. Déconfinons notre imagination pour faire vivre cette histoire.
Si vous avez envie de participer à cette aventure à multiples plumes, envoyez un mail à Noé : noe.aguilella-cueco@elan-retrouve.org.














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lundi 25 mai 2020

ATELIER CREATIF

Mardi 26 mai




RDV sur zoom à 14h30 via ce lien :

ici !

ID de réunion : 927 9433 8747

Mot de passe : 3pEASC


et à 15h15 par là !

ID de réunion : 977 7582 0644

Mot de passe : 6sQ9q4 

Le planning de Nada avec l'Atelier Bien être (lundi 25 mai)


Gros ou petit dormeur, lève-tôt ou couche-tard, nous avons tous des besoins différents par rapport au sommeil.


Un sommeil de qualité permet à notre organisme de récupérer physiquement et psychologiquement

Il est pourtant bien souvent la dernière roue du carrosse en ce qui concerne les attentions portées à sa santé.


Optimiser ses cycles de sommeil

Le déroulement d’une nuit de sommeil n’est pas linéaire, il est composé de cycles (3 à 5) de sommeil de 90 minutes en moyenne selon les personnes.
Chacun de ces cycles comporte plusieurs phases dont l’importance varie au cours de la nuit.

· L’endormissement : respiration plus lente, muscles détendus.
· Le sommeil lent léger : 50% de notre temps de sommeil, il s’agit de la transition entre l’état de veille et le sommeil profond. Pendant cette phase un léger bruit peut vous réveiller.
· Le sommeil lent profond : 20% du sommeil total, c’est le moment de récupération physique.
· Le sommeil paradoxal : 25% du cycle de sommeil, la période des rêves,  Cette phase termine le cycle.


Des petits conseils simples pour préserver ces cycles
La température
La température joue un rôle essentiel dans notre bien-être, et c’est aussi valable durant notre sommeil.
Le sommeil est tout d’abord lié à notre température corporelle interne. Aux alentours de 37 degrés, elle baisse d’un degré pendant la nuit suivant notre horloge biologique. La baisse naturelle de la température, le soir venu, favorise donc biologiquement l’endormissement, d’où l’intérêt d’avoir une température légèrement inférieure dans la chambre que dans les pièces de vie.

L'alimentation
Les causes des troubles du sommeil sont nombreuses et amènent à une altération de notre bien-être. Parmi elles, on oublie très souvent de s’attarder sur ce que l’on met dans nos assiettes.
Ce que l’on mange a aussi un impact direct sur la qualité du sommeil, il y a les aliments qui favorisent une bonne qualité de sommeil, d’autres qu’il faut éviter (thé, café, coca, Le chocolat contient une molécule également proche de la caféine,...)
Les sucres lents ou rapides, en quantité raisonnable favoriseraient aussi le sommeil. D’ailleurs, les marins sur les bateaux mangent quelque chose de sucré lorsqu’ils ont besoin de se reposer, car le sucre provoquant bien un regain d’activité, il ne faut pas attendre plus de 10-15 minutes avant que la redescente provoque des somnolences.
Enfin le sommeil nécessitant une température interne relativement basse, le corps en pleine digestion produit beaucoup de chaleur et aura du mal à réguler cette température
Il faut donc ne pas trop manger, choisir un menu léger (oublier les glucides, fritures, les fromages) et attendre au moins 1 heure voire 2 après le repas pour aller se coucher.

La lumière
Pour optimiser son bien-être, il faut être à l’écoute de son horloge biologique, et celle-ci se synchronise sur la lumière, celle-ci lui envoie des signaux d’activité ou d’éveil. 
La lumière du début de journée déclenche l’activation de la vigilance, de la mémoire, de la température, du système cardio-vasculaire, musculaire, etc…
L’activité pendant la journée conditionne le sommeil pendant la nuit.
La lumière perçue la nuit donne à notre horloge interne un signal contradictoire et provoque des difficultés d’endormissement et une altération de la qualité du sommeil. 
Un exemple classique d’aujourd’hui est l’utilisation de l’ordinateur avant de se coucher. Ce signal se répétant chaque soir, fini par retarder l’horloge biologique et donc provoquer des difficultés d’endormissement
De même que dormir avec une lumière permanente, même faible, provoque une fragmentation du sommeil, des difficultés pour se ré-endormir, un donc une piètre qualité de sommeil.

la citation de la semaine (lundi 25 mai)



"Un gagnant est un rêveur qui n'abandonne jamais."
 Nelson Mandela



vendredi 22 mai 2020

De la part de Tali

A vos écrans !


Ce samedi, nous avons convenu de regarder 
L'odyssée du loup
un documentaire animalier, 
à 21h05 sur France 4. 


Si vous avez un autre programme ce soir-là, vous pouvez regarder le documentaire en replay sur votre ordinateur à tout moment sur le site de francetv.

Ensuite, nous parlerons de ce fameux loup 

lundi à 15H ici :
ID de réunion : 743 3273 1202
Mot de passe : 1234567

et à 15H45 ici :
ID de réunion : 770 5421 9867
Mot de passe : 1234567


Bon week-end
Tali


Atelier d'écriture 
22 mai

De la part d'Hélène


Trouver le mot.Trouver le mot juste. Deux mots me viennent indissociables l'un de l'autre. Humble et saveur. Mes parents m'ont toujours appris le silence,la réflexion et la courtoisie. Moi ça me gave."Pourquoi tu ne fais pas ça ou ci comme Pauline?" Pauline c'est ma petite soeur rousse et studieuse soit elle. Elle est très généralement pas là mais quand elle est là c'est le soleil. Mes parents apprécient toutes ses décisions (nouvelle voiture,nouveau job, nouveau copain). Généralement moi aussi j'ai ou je vais accomplir des projets mais pas selon les idéaux de mes parents. Donc on en parle pas.
Moi mon mot à moi c'est saveur. J'aime découvrir des goûts inédits ou coutumiers comme le café noisette,le chocolat,le thé à la menthe.J'adore déguster ces mets. Découvrir des coutumes ou les faire perdurer. La saveur me permet de me sentir vivante grâce aux découvertes de mon palais. Quand on parle de thé à la menthe à ma soeur elle fait la gueule, mes parents et moi nous le dégustons à Paris au restaurant. Mais il est convenu que je reste à Paris.Tout ce qui me rend heureuse mon père le sous estime.Ce qui me fait du bien il me dit de l'oublier.
Après le confinement,quand je serai au SAVS, trop pressée de redécouvrir le café Malengo et le Rouibos. Le Rouibos je l'avais découvert à mon ancien foyer car on buvait de la tisane en ateliers. Depuis quelle avancée! Je suis chez moi, bien à Provins. Le SAVS me permettra de réaliser mes projets familiaux ,avec mes proches et professionnels. Je me sens soutenue par l'équipe et j'aime bien les camarades du SAVS.
Hier soir,avec ma mère on a mangé des fraises du jardin,elles sont exquises,vive le printemps, période ou naissent les idées qui germent.
Hélène B.

De la part de Brigitte

Bon Plan

Emmaüs Riquet est ouvert! 
Il vous faudra respecter l'ordre d'arrivée et l'espace!



Brigitte. 



De la part de Brigitte


Bonjours à toutes et tous !

Le confinement m’a laissé quelques kilos en trop ! Aussi j’ai décidé de m’en délester, car ce poids m’handicape quelque peu !

En chaussant ces baskets léopard très « fun » que ma fille m’a offerte, je serais fin prête à bondir mentalement sur l’asphalte et autre surface de la ville, histoire de sortir hors de chez moi! 

Alors si comme moi vous avez pris un peu d’embonpoint et que cela vous dis ! pourquoi ne pas faire un petit groupe de deux à trois personnes, pour faire de la marche ensemble ! Il n’y aura aucun engagement ! tout ce voudrais ludique et volontaire… A vos baskets ! prêt (tes) ! Marcher !...


Brigitte.



De la part d'Isabelle LG


Bonjour à tous,

Je vous invite à une échappée belle.

Se sauver, s’évader…

Evasion salvatrice par la rêverie.

N’hésitez pas à prendre la clé des champs !

Déverrouillez les champs des possibles et faites-vous la belle !




Isabelle LG



De la part d'Alice


Un collier qui n'est pas parfait 
mais qui m'a pris (beaucoup) de temps !!!




Pour vous donner une idée de mes balconnières. 






Bien à vous 

Ecriture collective - Episode 5 par Alice

Chapitre 5


Nos protagonistes s'étaient accrochés à la table encastrée du grand salon, évitant ce qui était arrivé au calife, c'est à dire choir sur un grand arbre. Le fait que la chute de l'arabe se soit faite sans dommage rassura Anne. Tous se redressèrent. La cabane avait changée. Les murs scintillaient. La peau de Lucky tapissait maintenant tout l'habitacle. Les habitants de la cabane s'étaient regroupés sur la place principale dont ce qui était désormais d'immenses hublots laissaient passer la lumière dorée du couchant, lumière qui venait lécher les murs. Les passagers ne savaient trop s'il fallait se réjouir ou pas de cette transformation de leur habitat en ornithorynque géant. Une musique sourde commença à se distiller. Une musique du fond des âges, elle rappelait le souffle vital, le rythme de la marche et aussi celui du battement du cœur. Ils le savaient, ils étaient maintenant dans le ventre de l'ornithorynque, d'ou tous ces percussions qui ressemblaient tant aux rythmes vitaux. Lucky fêtait à sa manière l'anniversaire du vaisseau de part sa métamorphose. De la fumée commença à envahir le cockpit, on s'inquiétait un peu, puis brusquement un grand rire éclata. D'abord il fusa du ventre de l'animal et brusquement il conquit l'assemblée. C'est là qu'Anne comprit que le nouvel agriculteur de son domaine faisait brûler un peu de marijuana pour alimenter Lucky. Sur toutes les figures il y avait des larmes de joie !!! 



****************


Le feuilleton du confinement suit son cours. Voici un rappel des éléments de la situation initiale du récit qui ont été choisis ensemble au début de cette aventure d'écriture.

Merci à tous les participants et continuons à donner vie à ce feuilleton.


Qui ? Un jeune cadre dynamique de 35 ans travaillant dans le marketing et une femme retraitée de 70 ans, travaillant dans une ferme écolo bio.

Quoi ? Un voyage initiatique

Comment ? Un road trip

Compagnon ? Un ornithorynque à bec de lièvre

Où ? Dans une cabane volante

Quand ? Dans les années 1970

Accessoire ? Une cigarette


Vous pouvez lire sur le blog les épisodes de cette histoire qui s'annonce farfelue, qui suit et suivra les tours et détours de l'esprit de chaque auteur. Tous les épisodes sont regroupés dans le Dossier "Ecriture collective".

Venez écrire la suite de ce récit pour ceux qui ont envie de participer. Déconfinons notre imagination pour faire vivre cette histoire.
Si vous avez envie de participer à cette aventure à multiples plumes, envoyez un mail à Noé : noe.aguilella-cueco@elan-retrouve.org.














jeudi 21 mai 2020

Le planning de Nada (vendredi 22 mai)

se jouer du temps

découvrir notre belle ville au moyen age vu du ciel


 à la renaissance au niveau du plancher des vaches


avec l’île de la Cité à la même période







Le planning de Nada (jeudi 21 mai)




Aujourd'hui pas de Rendez vous chorégraphique, mais le mouvement, la danse sont tout de même à l'ordre du jour .
La danse est l'art de mouvoir le corps humain, pour cela il est souvent rythmé par un accompagnement musical. 
Il existe beaucoup de genres, types, catégories de danse.
je vous envoie des petits films courts sur diverses danses : urbaines, jazz et classique.
En espérant que vous aurez plaisir à les découvrir!







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mercredi 20 mai 2020

De la part d'Hélène


Je voulais saluer l’équipe des référents pour leur aide et soutien lors de cette période difficile inhabituelle. En effet, les morts défilent mondialement et on ne peut rien faire sauf espérer ne pas être contaminée. Malgré des chichis qu’ils viennent de moi ou de l’équipe ou des deux: je tenais à vous remercier pour votre travail. Je me sens épaulée pas à pas. 
Cordialement. 
Hélène B.
De la part de Christophe et Marielle

Atelier d'écriture


Bonjour à toutes et à tous,
Marielle sera aujourd'hui l'animatrice de l'atelier et je l'en remercie.
Aujourd'hui une nouvelle proposition d'écriture
 
ce vendredi 22 mai 2020 à 15h00.

Juste un mot 

Un mot, un seul… L’exercice peut sembler cruel. Le lecteur, la lectrice, ne baignent-ils pas dans le vocabulaire à longueur de journée ? N’ont-t-ils pas, au bas mot, mille verbes et mille adjectifs au bout des yeux ?
Jouez le jeu. Il ne s’agit pas d’un concours de beauté. On ne vous a pas invités à commenter votre mot préféré, mais à nous offrir un mot-clé, une clé d’or, un mot-clé-d’or, celui qui introduit le mieux à votre être.
Faites donc marcher votre mémoire et votre instinct pour que vienne, de lui-même, le mot le plus juste, celui qui vous ressemble le mieux. Un mot sonnant et trébuchant, un signe physique, un mot de souffle, un petit caillou contre lequel s’agacer les dents. Un mot charnel et concret, à déployer comme on déploie un rouleau d’étoffe, et ça se déverse et ça se dévide et ça se déroule et ça s’étend. Voilà ce qu'est le mot. Incontrôlé, inévitable, comme on déploie une histoire.

Par exemple hier, dans votre lecture, ce mot ce qui vous a saisi ; et ce matin, quand l’odeur d’un arbre vous a surpris, c’était aussi un mot. Et quand vous entendrez par hasard une chanson qui vous rappelle un instant délicieux, ce sera un mot. Quand vous ouvrez la fenêtre, c’est un mot. Quand il y a du vent, c’est un mot, un mot lumineux, parfois très bref, mais tout aussi réel, aussi palpable et aussi essentiel que du sel, que du pain, que quelqu'un.

Donc un mot, un mot de vous, le mot caché, le mot qui vous génère, le mot qui vous est au cœur, le mot invisible, vous n’avez plus qu’à le faire apparaître…


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Prenez soin de vous 
Christophe.